La Pierre et le Sabre et La Parfaite Lumière : ces deux tomes relatent les aventures, mi-historiques, mi-fictionnelles, du plus célèbre samouraï de l'histoire du Japon : Miyamoto Musashi. Bébéranol ayant eu un coup de cœur pour le premier tome, il a choisi de vous faire découvrir ce roman, devenu un véritable classique de la littérature japonaise.
Au commencement, il était un homme
Nous sommes dans le Japon médiéval, aux XVème et XVIème siècles. Shinmen Takezō est un jeune homme qui rêve de devenir samouraï, à l'instar de son père. Accompagné par son meilleur ami, Matahachi Hon'iden, il prend part dans la bataille de Sekigahara, poussé par ses ambitions guerrières. Se retrouvant dans le camp des perdants, il fuit le champ de bataille et se laisse guidé par son instinct. Une fois revenu dans son village, il est chassé et châtié, attaché par une corde à un arbre. Il réussit à s'enfuir grâce à l'aide d'Otsu, une jeune femme orpheline fiancée à Matahachi. Mais Takezō est stoppé par le moine Zen Takuan. Celui-ci lui fait prendre conscience de l'animalité de son comportement et de ses actes et décide ainsi de l'enfermer pendant 3 ans dans la tour d'un château. N'ayant d'autres choses à faire que de se plonger dans des ouvrages, Shinmen Takezō renaît en tant que Miyamoto Musashi et décide de suivre toute sa vie durant la Voie du samouraï. C'est le début d'une légende.
Eiji Yoshikawa reprend donc quelques éléments historiques de la vie du plus célèbre escrimeur japonais parmi une trame pleine de fiction. Au fil des pages, on découvre un ballet de personnages qui se rencontrent et se séparent, sur fond d'histoires qui s'entremêlent, à travers un Japon moyenâgeux qui entre petit à petit dans l'ère moderne. Musashi, dans sa recherche de maîtrise de soi et sa volonté d'atteindre le meilleur niveau en arts martiaux, dépeint en réalité l'image idéalisée de ce que les Japonais se font d'eux-mêmes. Grosso modo, droits dans leurs bottes, fidèles à leurs principes, force et honneur quoi. Deux tomes passionnants donc que vous recommande Bébéranol, qui a déjà aiguisé son plus beau katana pour s'entraîner lui aussi à être le meilleur samouraï. De vous à nous, c'est pas gagné...
Roman entre fiction et réalité
Eiji Yoshikawa reprend donc quelques éléments historiques de la vie du plus célèbre escrimeur japonais parmi une trame pleine de fiction. Au fil des pages, on découvre un ballet de personnages qui se rencontrent et se séparent, sur fond d'histoires qui s'entremêlent, à travers un Japon moyenâgeux qui entre petit à petit dans l'ère moderne. Musashi, dans sa recherche de maîtrise de soi et sa volonté d'atteindre le meilleur niveau en arts martiaux, dépeint en réalité l'image idéalisée de ce que les Japonais se font d'eux-mêmes. Grosso modo, droits dans leurs bottes, fidèles à leurs principes, force et honneur quoi. Deux tomes passionnants donc que vous recommande Bébéranol, qui a déjà aiguisé son plus beau katana pour s'entraîner lui aussi à être le meilleur samouraï. De vous à nous, c'est pas gagné...
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